Non, non, décidément ! ... l'hiver préférait prolonger son offensive en nous imposant
des températures matinales très très froides.
Mais depuis hier, la température nocturne remonte, notre astre lumineux m'accompagne
au jardin et la nature sort enfin de sa léthargie.
Et dans une atmosphère qui se réchauffe, le lonicéra fragrantissima forme une
tache lumineuse.
Sous un ciel bleu, le lonicéra Fragrantissima poursuit sa floraison débutée en
novembre dernier.
Evidemment, comme chaque année, cet arbuste d'origine chinoise, affiche une silhouette
plantureuse, haute de 2.50 m sur une largeur équivalente, chargée
de tiges fines, enchevêtrées, dotées de nombreuses petites fleurs blanc-nacré
accompagnées d'un feuillage caduc.
Si le point d'orgue de cet espace, formant la haie du jardin, reste encore en mars la silhouette
imposante de ce chèvrefeuille arbustif, son attrait supplémentaire réside dans le parfum
captivant de ses fleurettes.
Une manne essentielle pour les abeilles qui se laissent charmer par cette
puissante fragrance.
Ancré depuis une dizaine d'années dans la haie qui ceinture le jardin, le
lonicéra Fragrantissima développe une stature imposante et son feuillage
renouvelé en juin sert de faire valoir aux roses.
Il s'est accommodé de la terre du jardin, pauvre, sèche et drainante.
Son pied est constamment couvert d'un matelas de tiges broyées, lui apportant,
je suppose, des éléments nutritifs nécessaires à
son développement.
Coté taille, je laisse sa silhouette s'épanouir à sa guise.
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A toutes et tous, je souhaite une belle et radieuse journée.
Amicalement vôtre.
Bye, bye.
Un arbuste que je n'ai pas , en voyant le tien je le regrette ...
RépondreSupprimerJe vais y réfléchir !
bye bye
Dominique
Cet arbuste s'inscrit bien dans une haie. Il se remarque surtout l'hiver quand il est en fleurs. Sa croissance est rapide.
SupprimerBelle soirée